ITALIAN CARS CLUB

Je prend beaucoup de plaisir avec ma 75 V6, qui a un comportement sans surprise aussi enfin sur le sec. J'ai eu une 147 et 2 156 je ne les ai jamais trouvé triste à conduire. Le seul reproche que je peut leurs faire, c'est une suspension trop souple à mon gout (c'est marrant les journaux trouve les suspension trop séche .... ). Ma 147 était une selespeed je l'ai trouvé génial un placement nickel des changement de vitesse rapide et au moment qui va bien grâce au palette. Puis j'ai eu un 2.4 JTD, pareil super précise, des super relance grâce au mazout, un vrai régal sur des routes de montagne. Mon actuel qui est un mJet en 1.9 est un ton au dessous a causse du moteur, je l'ai essayé sur circuit, on la met vraiment ou on veut, seul bemol un contrôle de trajectoire un peu trop présent en grande courbe.

En résumé je ne trouve pas les alfa moderne triste à conduire

Mais bon, une voiture moderne est plus facile à conduire, conduire une propulsion maintenant n'est plus un art, on maîtrise très bien la puissance de turbo : petit turbo, géométrie variable ...... on a plus le coup de pied au cul tres violant, mais on est plus efficace. Et c'est vrai pour toutes les marques.

Hier tu mettait un clapin moyen au volant d'une porsche 930 turbo, sur du mouillé, il se mettait au tas, aujourd'hui avec une 911 turbo bien plus performante et puissante il reste sur la route.

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Steph

Membre du RAFA
Fiat 850 Sport Coupé
Alfa-Roméo GTV, Sprint, 75 V6 et piste, et 156 SW
Autobianchi A112

Sauvez la forêt, mangez du castor

+1 Je suis totalement d'accord avec ton post.

Au volant des productions actuelles, on ne pilote plus une voiture, on la guide, elle s'occupe du reste.
Au quotidien, je roule avec une 220CDI boîte auto (dit "le paquebot") et quand je dois intervenir dans le Jura, je me délecte des routes de montagnes à son volant : aucune surprise, la voiture se place efficacement sans la moindre bataille, aucune correction de trajectoire en courbe, on donne la bonne impulsion et on profite de la glisse.

Avec le spider, c'est un plaisir différent, celui de piloter une voiture avec une conception d'un autre âge : contrôle permanent du train arrière, de la trajectoire, de l'état de la route, de sa vitesse, du rapport engagé, des sensations que renvoie la voiture, bref, j'adore également.

Donc je dirais qu'entre une moderne et une ancienne, les plaisirs sont là, présents mais différents.

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Alfa Romeo Spider IV 1990
Alfa Romeo 75 Turbo Potenziata Numerata 1992
Alfa Romeo Giulia 2.2 180ch AT8 Lusso

Ce n'est pas non plus parce que la conception est d'un autre age que la voiture est plus difficile à conduire, les technologies modernes ont permis de gommer les défauts, une voiture bien née reste facile à conduire

Une 911 avec son moteur en sac à dos, n'est pas à la base quelque chose de facilement exploitable par le commun des mortels. La technologie aide

Une voiture bien équilibrée, est facilement exploitable, je prend ce que je connais la 75 (alfetta; GTV116, ...) malgrès son aspect archaïque : essuie rigide à l'arrière, grâce justement à cette essieur rigide, repris d'ailleurs par mercedes sur sa dernière classe A pour faire oublié la catastrophique 1er génération, et surtout à une répartition des masse idéal de 50/50 est très facile à exploiter, a comparer avec un GTV 916 en V6, qui lui est plus dur à exploter, car les 2/3 du poids sont sur l'avant, ce qui fait que le train arrière manque d'appui, et donc de ce fait plus délicat à maitriser. Pourtant le GTV 916 est loin d'être une mauvaise voiture mais la pousser dans ses derniers retranchement est plus délicats. Je vais être honnête la 75 a aussi ses gros défaut, en particulier la lenteur et l'impresision de sa boite de vitesse.

LA technologie permet aux voitures difficiles de devenir docile, mais rien ne vaut une voitures bien née

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Steph

Membre du RAFA
Fiat 850 Sport Coupé
Alfa-Roméo GTV, Sprint, 75 V6 et piste, et 156 SW
Autobianchi A112

Sauvez la forêt, mangez du castor

Oui mais ce n'est pas aussi archaïque et "flou" qu'un pont rigide type Giulia (Spider etc...) qui pour le coût à part le fait qu'il est en alu est d'une rusticité absolue !
Sous son air simple et rustique le train arrière de Dion est finalement une jolie réussite point de vue tenue et équilibre. Avec une voie et des angles caractéristiques constants comme un pont rigide, mais dans la masse de ce dernier...


Pour ma part, je garde un souvenir inverse. Je n'ai jamais trouvé la 156 2.4l jtd très à l'aise sur les routes sinueuses (lourde de l'avant et très très pataude). Mais il est vrai que le brio moteur et la précision de la direction sauvent en partie la mise...
Reste malgré tout que le nez m'a toujours semblé lourd et l'auto très mal équilibrée...
Même la 155 2.5TD ne semblait pas aussi lourde à l'avant (pourtant, à coté du jtd, le VM est une enclume !).

Question de feeling et de goût je pense...
Pour l'équilibre des Alfettas, 75 etc... tout le monde est unanime !

je suis aussi un déçu du jtd 2.4 : j'avais un spider "brera" pourtant fort de 220 cv je l'ai revendu assez vite, ..en fait le manque d'agrément venait du mariage avec un bdv très renforcée et "rugueuse" , plus l'embrayage à course longue..vraiment je crois que ces gros diesel ont tout intérêt à être mariés à un Bte Auto moderne , et le Groupe Fiat est pas mal en retard de ce point de vue...
(y parait que c'est imminent, les btes "double clutch" etc.. d'abord sur Alfa)

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l'A112 Abarth rouge capot noir...c'était en 1978 ! spider Alfa 2L de 1979......Freelander 2 pour faire de la route..

200% d'accord avec toi.
Pour une routière diesel, coupleuse et "confort", rien ne vaut une boite automatique conventionnelle. Et là dessus, il est vrai que chez Fiat / Alfa / Lancia ces boites sont rares...

Le hic est que les boites double embrayage sont limitées au couple de 350NM, donc le plus gros moteur qui puisse les tolérer à date c'est le 2.0 multijet 170ch (et encore, celui-ci en a 360NM...).
Pour des moteurs comme le 2.4 200ch 400NM on reste coincés avec les Q-tronic (qui mériteraient une bonne retraite...)

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Alfa Stelvio First Edition 280ch Q4 gris stromboli
Alfa Spider base Brera 2.2 rosso alfa
... et un autre Stelvio de fonction (bleu, 180ch Super Q4)

Ex : Alfa Giulietta QV, GT 3.2 V6, 159sw 2.4Q4, 159 2.2jts selespeed ,159sw 1.9 150ch, Crosswagon Q4 Selective, Alfa 75 2.0 TS de 1990, Lancia Dedra integrale 1991, Lancia Thema Turbo 16v 1992.

Et sur les routières de fort couple, pourquoi pas une vrai bonne vieille boite auto avec convertisseur de couple ? (exemple Mercedes etc..). Un pilotage par calculateur pour autoriser un pseudo mode séquentiel et une meilleure descente des rapports pour le rétrogradage et le tour est joué.

Sur la Giulietta le 2 litres a 350 Nm, cette version recevra d'ailleurs à la fin de l'année la boîte à double embrayage, en même temps que la version 170 chevaux MultiAir.

Sinon je pense que les boîtes à convertisseur de couple, pour les petits modèles en tout cas, sont condamnées à plus ou moins long terme car elles sont plus énergivores qu'une boîte robotisée à double embrayage. Et vu la chasse au CO2 qui est faite à l'heure actuelle...

C'est vrai que le convertisseur de couple ajoute du poids et "mange" un peu de puissance et donc de consommation surtout en usage mixte ou ville.
Mais les boites modernes à convertisseur, avec un calculateur qui gère au mieux l'ajustement charge moteur / rapport engagé en fonction de la conduite et des conditions, sont malgré tout devenus assez sobres. Qui plus est le lock up sur les deux ou trois rapports les plus haut fait chutes la conso sur route ou autoroute de manière significative...

Cela dit comme tu le suggères une boite robotisée, si elle est fiable et bien gérée donne d'excellents résultats pour une faible consommation et une masse plus faible